(Apparently, Stminter Records desperately needed cash. Anyway, this is the first time one may feel compelled to squeeze in a vivid devotion the bust of Ludwig and of Barenbolm AT THE SAME TIME.)
A major sinner is René Depestre. Lucky us. For what he wrote deserves at least a Church (made obviously of salted sun-rays & perfumed breezes):
ELOGE DU FEU SACRÉ
A l'heure de la fête réciproque
le corps de l'homme s'en remet aux mains,
au nez, aux yeux, aux lèvres, au sexe,
pour brûler la joie de vivre
dans le temps et l'espace de la femme:
le sang viril, en orbite vers son salut,
touche, sent, regarde, savoure, pénètre,
déchalcore le feu sacré de la femme:
au lieu de transit du destin et du cri,
fortement le sang chaud s'appuie
sur le ciel pour être à la hauteur
de l'émerveillement féminin.
(in Non-Assistance à poètes en danger, éd. Seghers).
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